Laborans se voudrait un journal d’écriture, une compagnie inquiète, un bol d’air, un souffle repris
Laborans, en travaillant, en regardant travailler les autres
Tout au plus l’empreinte fragile de quelques pas sur de la terre fraichement retournée
Le projet
Un filmeur – pour reprendre l’expression d’Alain Cavalier – se propose, avec irrégularité, de mettre en ligne son journal.
Son souhait serait, à chaque heure publiée, d’organiser une projection publique
sampoissonquinton@gmail.com